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Bonjour, J'ajouterais : le soutien familial. Il me parait essentiel que le conjoint adhère au projet et accepte les sacrifices qui vont avec. Il doit savoir apporter un encouragement, savoir dire non, ne pas dire oui pour faire plaisir mais savoir exprimer son désaccord avec simplicité.
Merci Thomas pour votre commentaire, Oui, la confiance en soi, vous avez raison ! Bien que je la relierais à l'opiniâtreté quelque part :) Quant au doute, je le trouve utile parce qu'il permet de se remettre en question à certains moments clés, mais aussi parce qu'il autorise des "pauses" qui sont nécessaires dans le mûrissement d'un projet. Ceci dit, un doute qui dure et qui ronge trop longtemps ne sera pas de bon augure, effectivement !
Très bonne synthèse... Je rajouterais néanmoins la confiance. Confiance en soi, confiance en son projet, confiance en son potentiel... Si le doute apparait, tout s'écroule, n'est-ce pas ?
Eh oui Marie, j'apprends à vous connaître et je sais que ces qualités, vous les avez déjà. Le doute est nécessaire pour entreprendre, car si il permet de se remettre en question, il marque des temps de pause "utiles" dans la réalisation d'un projet. Evidemment, ce n'est pas toujours évident à vivre. Mais une chose est sûre : "la persévérance finit toujours par payer" !
Pour ma part, je possède toutes ces qualités (plus d'autres) néanmoins, il m'arrive de douter, d'avoir envie de tout remettre en cause, de me sentir seule et défaillante. Mais très vite, justement je puise en moi ce besoin de passer outre tous ces obstacles et d'aller au bout de mon dossier. J'ai envie de dire que si on a tout cela mais qu'on n'a pas compris qu'il faut respecter son client et inspirer confiance. Cet article est très bien rédigé, les mots sont bien choisi et il dresse bien le portrait de l’honnête chef d'entreprise.